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Publié le 13-03-2017

Comment réduire les fausses-couches après un transfert d’embyrons ?

Comment réduire les fausses-couches après un transfert d’embyrons ?

Les risques de fausses-couches après un transfert doivent être étudiés en fait bien avant le traitement au cours d’une étude poussée de la patiente.

Il existe plusieurs examens à faire pour prévenir les risques de fausses-couches et il est impératif de pouvoir les contrôler avant un traitement de FIV ou FIV DO.

Il faut d’abord, regarder les antécédents de la patiente. En cas de fausse-couche à répétition, elle devra faire un bilan de fausse-couche, c’est à dure une étude de la thrombophilie. Nous vérifierons ainsi si elle n’a pas de problème de coagulation et si l’utérus est bien irrigué pour une future grossesse. Dans ce cas contraire, la patiente devra suivre un traitement pour pallier à cela (héparine, vitamines, anticoagulant, etc…). Suivant vos résultats d’analyses, votre médecin pourra ajouter les médicaments nécessaires à votre plan de traitement.

Nous devons aussi vérifier les analyses de sang basique pour vérifier qu’il n’y ait pas de carence :

  • Hémogramme (plaquettes, globules)
  • Biochimie 
  • Hormones : TSH et Prolactine. Ces deux hormones sont très importantes car des résultats trop faibles ou trop élevés pourraient provoquer des fausses-couches.
  • Caryotype ou FISH : La plupart des fausses-couches sont dues à une mauvaise qualité génétique des embryons. Il est donc important de vérifier s’il n’y a rien du côté du couple qui pourrait ensuite amener des malformations génétiques sur l’embryon. Les caryotypes et le FISH des spermatozoïdes sont des bons témoins de cela.

Enfin, l’âge de la patiente est un bon indice du risque de fausses-couches.

À partir de 40 ans, les malformations génétiques sur les ovules de la patiente sont malheureusement très fréquentes et peuvent se répercuter ensuite sur la qualité des embryons. Il y a donc beaucoup de risques de fausses-couches à partir de 40 ans, non pas à cause de la santé générale de la femme, mais à cause de la génétique des ovocytes.

Après un transfert, il est important de garder une vie saine et une activité physique raisonnable pour aider à l’accroche de l’embryon. Si votre diagnostic a été effectuer correctement et vos ovocytes sont jeunes, les risques de fausses-couches seront alors les mêmes que pour une grossesse naturelle.

Pour plus de renseignement, et un diagnostic gratuit, n’hésitez pas à nous contacter à : contact@procreatec.com

Article rédigé et publié par IVF-Life Madrid.

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